Texte à méditer

A QUOI CA SERT LA VIE ?

 

Arrivé au milieu de ma vie, J’ai cherché à savoir « À quoi ça sert la vie ? »
J’ai cherché dans les sports et les voyages,
j’ai cherché dans la politique et les performances,
j’ai cherché dans les religions et les livres,
j’ai cherché dans le travail acharné et le luxe,
j’ai cherché de toutes les façons,
j’ai même cherché des façons de chercher.
Un beau jour, j’ai trouvé sans chercher.
J’avais cherché trop loin, à l’extérieur, dans les autres.
J’avais cherché l’impossible pour m’apercevoir qu’il n’y avait rien à trouver.
Ce que je cherchais, on le possède tous à l’intérieur de soi.
Maintenant que je sais que la vie est faite de petits et de grands moments présents,
maintenant que je sais qu’il faut se détacher pour aimer plus fort,
maintenant que je sais que le passé ne m’apporte rien,
maintenant que je sais que le futur me fait parfois souffrir d’angoisse et d’insécurité,
maintenant que je sais qu’on n’a pas besoin de voyager dans l’astral pour être heureux sur cette terre,
maintenant que je sais que la bonté et la simplicité sont essentielles
et que, pour rendre les autres heureux, je dois l’être d’abord,
maintenant que je sais qu’on peut aider les autres surtout par l’exemple et le rayonnement,
maintenant que je sais que l’acceptation est un gage de bonheur,
et que la nature est mon meilleur « Maître »,
maintenant que je sais que la réponse vient du même endroit que la question,
maintenant que je sais que je vis,
alors, maintenant, je vis tout simplement…

 

Auteur : vous ou moi

°°°°°°°

TOURNER LE REGARD VERS L’INTÉRIEUR

 

Il était une fois une vieille dame qui avait laissé tomber son aiguille à coudre.
Pendant qu’elle la cherchait dans son jardin, un homme qui passait l’aida dans ses recherches.
Après quelque temps, ils n’avaient toujours pas retrouvé l’aiguille.
L’homme demanda à la vieille dame l’endroit exact où elle avait laissé tomber l’aiguille.
« Oh, je l’ai laissée tomber à l’intérieur de la maison », répondit-elle.
Etonné, il lui demanda pourquoi diable la cherchait-elle dans le jardin car, bien sûr, elle ne la trouverait jamais !
Elle répondit qu’il faisait trop sombre dans sa maison, et que c’était la raison pour laquelle elle cherchait dehors, où il faisait plus clair.
La plupart d’entre nous sont comme cette vieille femme, nous cherchons notre bonheur perdu à l’extérieur de nous-même.
Nous avons le sentiment qu’il fait clair à l’extérieur, et que c’est là que se situe toute action !
Mais le bonheur ne peut pas être trouvé là.
Il peut être trouvé dans le calme et la tranquillité à l’intérieur de nous-même.
Le bonheur est notre condition naturelle, et la méditation notre état d’esprit naturel.
C’est à nous de découvrir ce qui est déjà à l’intérieur de nous.

 

Auteur inconnu

°°°°°°°°

L’ALLÉGORIE DE LA GRENOUILLE

Il était une fois une course de grenouilles. L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour.
Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir. La course commença. En fait, les gens ne croyaient probablement pas possible que les grenouilles atteignent la cime, et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre :
« Quelle peine ! Elles n’y arriveront jamais… »
Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une qui continua de grimper. Les gens continuaient :
« Quelle peine ! Elles n’y arriveront jamais… »
Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf toujours la même grenouille qui continuait à insister. A la fin, toutes se désistèrent, sauf cette grenouille qui, seule et avec un énorme effort, rejoignit le haut de la cime.
Les autres voulurent savoir comment elle avait fait.
L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve. Et découvrit … qu’elle était sourde…
N’écoutez pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives… car elles volent les meilleurs espoirs de ton cœur.
Rappelle-toi pour toujours du pouvoir qu’ont les mots que tu entends ou que tu lis.
C’est pourquoi, sois toujours :

POSITIF

°°°°°°°

AVANT DE JUGER

C’est tellement facile de trouver ce qui ne fonctionne pas dans la vie des autres !
Nous nous disons souvent :
« Si j’étais à sa place, je ferais ceci, je ferais cela ! »
Mais avons-nous déjà pensé que si nous étions réellement à la place de l’autre personne,
nous serions alors aux prises avec ses émotions,
ses préjugés,
ses réactions,
ses inquiétudes,
ses ambitions,
ses objectifs,
ses inhibitions,
ses instincts,
bref, nous aurions son passé, son présent et son avenir
et il est fort probable que nous agirions exactement de la même façon qu’elle.
Avant de condamner quelqu’un,
essayons non seulement de le comprendre,
mais de vibrer à la même fréquence fondamentale que lui
et nous constaterons alors que nos émotions ressemblent aux siennes.

 

Auteur Anonyme